Johan FOURNIER est né le 03 mai 1988 d’un père, issu des gens du voyage et d’une mère sédentaire.
Il est le troisième enfant d’une fratrie composée d’une sœur et d'un frère aînés.
Puis ses parents divorcent et deux demi-frères du côté paternel viennent agrandir la famille.
Johan a toujours eu du mal à trouver sa place dans cette famille recomposée.
De même il cherche constamment sa voie car c’est une personne qui a toujours eu la « tête dans les étoiles ». Éternel rêveur, il aspire, dès son plus jeune âge à exercer des métiers créatifs et artistiques.
Hélas, la jeunesse puis l’adolescence lui jouent des tours et il est enclin « à faire des bêtises »…
D’autre part, le fait d’être dysorthographique le frustre pendant son adolescence et, se disant incapable, il brûle tous ses écrits.
Il cesse l’école à 16 ans puis sa profession de forain 1 an et demie plus tard, activité qu’il aimait et pratiquait depuis ses 13 ans.
Il enchaîne les petits boulots… et rencontre l’amour à 18 ans,
fait son coming out et continue ainsi sa petite vie.
Tout naturellement, à l’âge de 26 ans, il se tourne vers l’écriture. Véritable exutoire, il laisse son imagination donner vie à une histoire qu’il partage par brides, dans un premier temps sur Facebook.
Encouragé par ses amis il se lance dans une 1ère page Facebook puis en autoédition.
Étant dysorthographique, il s’agit pour lui d’un réel défi qu’il compte relever en créant un livre.
Autodidacte, il crée et conçoit lui-même ses illustrations et couvertures de son futur livre.
Sa première édition « Un amour de gitan » l’aide à sauter cette barrière qui l’a souvent empêché de se réaliser et de s’épanouir. Grâce à l’écriture, Johan a enfin trouvé son parfait équilibre.
Il est le troisième enfant d’une fratrie composée d’une sœur et d'un frère aînés.
Puis ses parents divorcent et deux demi-frères du côté paternel viennent agrandir la famille.
Johan a toujours eu du mal à trouver sa place dans cette famille recomposée.
De même il cherche constamment sa voie car c’est une personne qui a toujours eu la « tête dans les étoiles ». Éternel rêveur, il aspire, dès son plus jeune âge à exercer des métiers créatifs et artistiques.
Hélas, la jeunesse puis l’adolescence lui jouent des tours et il est enclin « à faire des bêtises »…
D’autre part, le fait d’être dysorthographique le frustre pendant son adolescence et, se disant incapable, il brûle tous ses écrits.
Il cesse l’école à 16 ans puis sa profession de forain 1 an et demie plus tard, activité qu’il aimait et pratiquait depuis ses 13 ans.
Il enchaîne les petits boulots… et rencontre l’amour à 18 ans,
fait son coming out et continue ainsi sa petite vie.
Tout naturellement, à l’âge de 26 ans, il se tourne vers l’écriture. Véritable exutoire, il laisse son imagination donner vie à une histoire qu’il partage par brides, dans un premier temps sur Facebook.
Encouragé par ses amis il se lance dans une 1ère page Facebook puis en autoédition.
Étant dysorthographique, il s’agit pour lui d’un réel défi qu’il compte relever en créant un livre.
Autodidacte, il crée et conçoit lui-même ses illustrations et couvertures de son futur livre.
Sa première édition « Un amour de gitan » l’aide à sauter cette barrière qui l’a souvent empêché de se réaliser et de s’épanouir. Grâce à l’écriture, Johan a enfin trouvé son parfait équilibre.